Les extraits de l'ouvrage, attribués à Alhassane Doukouré, présentent une métaphore systémique où l'écosystème est décrit comme une machine vivante d'une précision divine conçue par un créateur. Ce texte explore l'interdépendance des composants naturels, assimilant les plantes à des batteries énergétiques, l'eau à un carburant cyclique, le vent à un système de ventilation et de logistique, et le sol à la base d'assemblage et au centre nerveux. L'auteur catégorise les animaux comme les engrenages dynamiques qui régulent les flux du système, soulignant que l'être humain est la pièce maîtresse qui, ayant rompu son contrat d'interdépendance, est devenue une anomalie ou un virus menaçant l'équilibre global de la machine. Les sources concluent que le chaos écologique actuel est le résultat du dérèglement de ce système par l'homme, mais qu'il existe encore une capacité de résilience si l'humanité choisit de redevenir un technicien conscient pour réparer le vivant